…hier au boulot devant la machine à café à côté de laquelle se trouve une bouilloire : quand je verse l’eau bouillante sur le filtre rempli de thé vert au riz soufflé, les effluves qui émanent du mug me submergent littéralement de l’atmosphère de Nuées d’oiseaux blancs lu il y a un peu plus d’un an après deux autres livres de Kawabata. Rarement ressenti une immersion aussi subite aussi étourdissante…