au parc

Ce soir au parc
les oiseaux appellent le printemps
Chant et trilles incessant
Le ciel s’élargit
Déjà des embryons de feuilles
Les nervures ciselées
du sorbier des oiseleurs
Je croise mon ombre
A l’angle d’un chemin
Et plus loin un rouge-gorge
Au pied d’un buisson
Sous une ombrelle
Une femme chante face aux arbres
Face à la pente
The great skies are open

Laisser un commentaire