“Le jour où nous avons quitté le village, le temps était si radieux, si chaud, si éclatant ;
les travaux des champs s’achevaient ; d’énormes meules de blé s’entassaient déjà dans les granges
et des nuées d’oiseaux s’assemblaient à grands cris… ”

 

 Dostoïevski. Les pauvres gens.
Traduction d’André Markowicz