
Nuit. Noir. La nuit médiévale. Lune. Éclairage des monuments… silhouettes devinées dans l’obscurité.
Sombre. Seul avec soi.
On pense à qui ?
Chambre noire. Pas d’écho.
Seul sans écho.
L’ombre des bâtiments.
La nuit comme un dépouillement.
La nuit comme une enveloppe, une protection, comme des bras.
La face cachée, l’envers du décor
La nuit comme face à soi
Des fragments nuit, ou éclats nuit, ou flashs dans la nuit, des moments discontinus où Ugo se trouve dans un endroit puis dans un autre, parfois il ne sait même pas où il est ni comment il a pu arriver là.
Seul le plus souvent, parfois avec Léa
Quel sang d’encre pour rêver l’Enfer ?
toujours une pensée pour Dante Alighieri, toujours dans la tête l’angle de son visage
Une nuit multi facettes, boule à facettes
Amnésie – une nuit stroboscopique – Léa est là, Léa n’est plus là. Il est seul. Être seul. Seul la nuit, sans écho, sans rien ni personne qui réponde.
La nuit est scintillante, la nuit est sombre. La nuit est opaque.