sans les hérons

Aujourd’hui je n’ai pas vu les hérons sur le bras du lac où ils ont l’habitude de se tenir. Deux femmes les cherchaient aussi en scrutant les hauts arbres. Un groupe de jeunes (pakistanais ?) écoutaient Hum Yaar Hai Tumbare, une des deux femmes a suggéré que la musique dérangeait peut-être les oiseaux. Plus loin, deux autres femmes – sans doute mère et fille – se faisaient photographier, chacune portant un t-shirt Yale University. Une mariée et son épousé, accompagnés d’une petite fille et d’un photographe, regardaient les photos que ce dernier venait de prendre tout au bord du lac où la mariée avait sali le bas de sa robe blanche.

il y a une lumière différente dans le parc à la fin de cette micro-saison Atsukaze itaru le vent chaud souffle de nouveau et de magnifiques transparences de jeunes feuilles claires traversées par le soleil. Aujourd’hui l’air n’est finalement pas si chaud et la promenade très agréable. Une nouvelle fois, je me dis qu’il faudrait venir le matin tôt avec le Nikon pour saisir les feuillages dans la lumière matinale. Et peut-être aussi les hérons.