
Tristesse et inquiétude pour nos ami.e.s italiens – bientôt notre tour – et aussi admiration devant leur inexpugnable vitalité, leurs chansons le soir sur les balcons.
Ai lu dans Le Monde le beau texte de l’écrivain Roberto Ferruci “Je vous écris d’un pays fermé, l’Italie” dans lequel il témoigne depuis sa ville de Venise désertée de la vie en confinement.