L’atelier d’été est terminé et maintenant écrire une nuit, suivant la proposition # 45, un texte
qui ne sera pas mis en ligne comme les autres mais fera partie d’un livre publié par Tiers Livre éditeur. Quand je l’aurai terminé – si j’y arrive avant le 25 octobre – je continuerai à écrire, à construire ma ville sans fin en m’appuyant sur les propositions que je n’ai pas eu le temps de travailler. Je suis lente, le moins qu’on puisse dire. À ma décharge, écrire sur Florence que je ne connais que peu finalement n’est pas si aisé -et m’a demandé beaucoup de recherches, de digressions sur l’histoire, l’architecture, l’actualité, etc. et de promenades avec Google street view. Mais je suis restée à F. , choisie au départ pour ce sentiment si fort si étonnant de “retour” ou d’être enfin “chez moi” ressenti la première fois que j’y suis allée et ce sentiment je l’ai eu dans des rues simples, sans emblème historique particulier… et  peut-être, sans doute, cela aurait pu se produire dans une autre ville d’Italie…

 

Florence, la nuit, 2014