feuilletant Macau…

Relisant les premières pages de Macau, regardant quelques photos à la fin du livre, 49 photos comme il y a 49 micro chapitres (implacable prégnance du chiffre 49 chez Volodine), et piochant au hasard du livre :

Il y eu un temps où tu rêvais que tes derniers instants se dérouleraient dans les règles, dans un local propre, avec au-dessus de toi une pénombre rassurante et, à ton oreille, la voix d’un moine lisant sans emphase le Livre des morts. (p. 59)

Je ne suis pas sure d’avoir lu entièrement Macau, je l’ai rêvé, je l’ai entendu de la voix d’Antoine Volodine il y a quelques années à la Maison de la Poésie.